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导演:
主演:
梅勒妮·帕帕拉,戴维·希莱斯滕哈欧芬,亚当·沙皮罗,安娜·玛格丽特·霍利曼,马特·雷迪,卡蒂嘉·佩维斯,莎蒂亚·阿莉卡·艾卡罗娜,安东尼·詹宁斯,维多利亚·汉琳,安努舒卡·拉尼,加雷特·福南德,莉莉·霍利曼,JeffRubino,乔纳·兰道,RikinVasani,卡尔·L·桑德斯,罗恩·博蒂塔,苏珊·克劳利,PJ·麦凯布,JohnGrady,BenMacdonald,金伯莉·埃布尔斯·因德拉,小比尔·奥伯斯特
上映:
2013
备注
HD
类型:
电影
剧情:
  年轻女子伊丽莎白·本顿(梅勒妮·帕帕拉 Melanie Papalia 饰)正就网络聊天软件the DEN申请课题和资金展开人类行为学研究,她尝试和世界各地的网友聊天,希望能调查他们的上网习惯和兴趣。虚拟的网络让人们有了释放自我和欲望的空间,而摄像头又满足了他们宣泄与窥视的欲望。浏览网络,世界各地的人们尽情展示着他们诙谐、丑陋、罪恶的一面。这一天,伊丽莎白偶然和一个静止头像的女孩聊天,随后竟目击了对方被残忍杀害的一幕。受到惊吓的伊丽莎白连忙报警,但警方不置可否,她的男友达米安(David Schlachtenhaufen 饰)也认为视频系伪造而成。直到某天,达米安突然消失,而她的朋友也都被卷入一连串的恐怖事件中。  网络让恶之花迎风怒放………

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蒂莫西·利瑞艾德·艾姆许维勒FranzFuenstler
  Walden (Diaries, Notes & Sketches) de Jonas Mekas États-Unis, 1969, 16mm, 180’, nb et coul., vostf filmé entre 1964 et1968, monté en 1968-1969  Walden est le premier des journaux de Jonas Mekas, rassemblés sous le titre générique Diaries, Notes & Sketches – le premier monté, même si Lost Lost Lost, achevé en 1976, montre la période précédente, de 1949 à 1963.  « Depuis 1950, je n’ai cessé de tenir mon journal filmé. Je me promenais avec ma Bolex en réagissant à la réalité immédiate : situations, amis, New York, saisons. […] Walden contient le matériel tourné de 1964 à 1968 monté dans l’ordre chronologique. La bande-son utilise les sons enregistrés à la même époque : voix, métro, bruits de rues, un peu de Chopin (je suis un romantique) et d’autres sons, significatifs ou non. »  Jonas Mekas  « Je n’ai pas disposé de ces longues plages de temps nécessaires à la préparation d’un scénario, puis au tournage, puis au montage, etc. Je n’ai eu que des bribes de temps qui ne m’ont permis de tourner que des bribes de film. Toute mon œuvre personnelle est devenue comme une série de notes. Je me disais : je vais faire tout ce que je peux aujourd’hui, parce que sinon je ne trouverai pas d’autre moment libre avant des semaines. Si je peux filmer une minute, je filme une minute. Si je peux filmer dix secondes, je filme dix secondes. Je prends ce que je peux, désespérément. Mais pendant longtemps, je n’ai pas visionné ce que je filmais et emmagasinais ainsi. Je me disais que tout ce que je faisais, c’était de l’entraînement. »  Jonas Mekas, 1972  « Walden de Jonas Mekas s’impose, près de trente ans plus tard, comme un document cinématographique essentiel de la vie artistique new-yorkaise à l’une de ses époques les plus grandioses. Sans jamais choquer ni se confesser, Mekas a imprégné chaque instant de ce très long film des nuances de sa personnalité. Parmi un vaste éventail de personnages, pour la plupart non nommés ou simplement appelés par leur prénom – bien que certains soient mondialement célèbres –, le seul portrait psychologique est celui du cinéaste lui-même : un poète lituanien exilé, fasciné et torturé par sa lente américanisation. Le film est dominé par un rythme staccato nerveux qui s’épanche régulièrement en grandes exaltations. En accumulant massivement des images, Mekas s’est constitué des archives uniques en leur genre pour assembler ce journal visuel, le premier d’une longue série. Aucun autre film ne restitue à ce point la sensation propre à ce temps et à ce lieu, telle qu’on peut la retrouver en regardant le film aujourd’hui. En tant que personnage secondaire apparaissant régulièrement devant la caméra de mon ami, je suis conscient combien sa représentation des autres reste fragmentaire et elliptique, et cependant ces images sont devenues pour moi les indices visuels les plus forts de la personne que j’étais il y a trente ans. Ceci est peut-être la clé de l’œuvre de Mekas : sa découverte d’une forme cinématographique laissant transparaître ses changements d’humeur, sans imposer un masque cohérent de lui-même. Il a ainsi construit une oeuvre qui laisse les autres apparaître dans leur ambiguïté phénoménale. »  P. Adams Sitney, 1996, Le Livre de Walden, éd. Paris Expérimental, 1997  « Disons que, cinématographiquement parlant, il n’y a peut-être rien de plus beau que les trois premiers plans de Walden : des arbres dans un parc bleuté par les reflets du soleil d’hiver, la neige et l’aube du printemps ; du temps, proustien ou haché en haïku, du temps qui tient dans la main, du souvenir partout. »  Philippe Azoury, « Vivace Jonas Mekas », Libération, 31 octobre 2000…
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