注册新用户

已有账号?

登录你的账户

还没有账号? 注册新用户

导演:
主演:
仲代达矢,山崎努,萩原健一,根津甚八,大泷秀治,隆大介,油井昌由树,桃井薰,倍赏美津子,室田日出男,志浦隆之,清水綋治,山本亘,杉森修平,音羽久米子,阿藤快,江幡高志,岛香裕,松井范雄,千葉治郎,伊藤荣八,大村千吉,志村乔,藤原釜足,中岛书
上映:
1980
备注
HD
类型:
电影
剧情:
  日本战国时代三雄之首的武田信玄(仲代达矢饰),号称“甲斐之虎”。他的信条是“疾如风,徐如林,侵略如火,不动如山”。当武田信玄包围德川军的野田城,即将直取京都完成霸业时,他被敌人的狙击冷枪打中,重伤濒死。临死前,他留下遗言要部下隐瞒自己死讯三年。先前弟弟武田信廉(山崎努饰)找到的替身(仲代达矢饰),原为窃贼的他面貌和信玄酷似,即日本人所说的“影子武士”,担当起了重任。  就这样,在武田信廉一旁的支持辅助下,影子武士从贼性未改到被武田家的大义之举所感动,尽心尽力履行职责,他令武田家人及敌人坚信他就是信玄本人。然而,三年将至,意外之事发生,影子武士被揭露,他被赶走,而武田家的气数也将尽………

播放列表

猜你喜欢

1969 欧美
笔记·日志·素描
蒂莫西·利瑞艾德·艾姆许维勒FranzFuenstler
  Walden (Diaries, Notes & Sketches) de Jonas Mekas États-Unis, 1969, 16mm, 180’, nb et coul., vostf filmé entre 1964 et1968, monté en 1968-1969  Walden est le premier des journaux de Jonas Mekas, rassemblés sous le titre générique Diaries, Notes & Sketches – le premier monté, même si Lost Lost Lost, achevé en 1976, montre la période précédente, de 1949 à 1963.  « Depuis 1950, je n’ai cessé de tenir mon journal filmé. Je me promenais avec ma Bolex en réagissant à la réalité immédiate : situations, amis, New York, saisons. […] Walden contient le matériel tourné de 1964 à 1968 monté dans l’ordre chronologique. La bande-son utilise les sons enregistrés à la même époque : voix, métro, bruits de rues, un peu de Chopin (je suis un romantique) et d’autres sons, significatifs ou non. »  Jonas Mekas  « Je n’ai pas disposé de ces longues plages de temps nécessaires à la préparation d’un scénario, puis au tournage, puis au montage, etc. Je n’ai eu que des bribes de temps qui ne m’ont permis de tourner que des bribes de film. Toute mon œuvre personnelle est devenue comme une série de notes. Je me disais : je vais faire tout ce que je peux aujourd’hui, parce que sinon je ne trouverai pas d’autre moment libre avant des semaines. Si je peux filmer une minute, je filme une minute. Si je peux filmer dix secondes, je filme dix secondes. Je prends ce que je peux, désespérément. Mais pendant longtemps, je n’ai pas visionné ce que je filmais et emmagasinais ainsi. Je me disais que tout ce que je faisais, c’était de l’entraînement. »  Jonas Mekas, 1972  « Walden de Jonas Mekas s’impose, près de trente ans plus tard, comme un document cinématographique essentiel de la vie artistique new-yorkaise à l’une de ses époques les plus grandioses. Sans jamais choquer ni se confesser, Mekas a imprégné chaque instant de ce très long film des nuances de sa personnalité. Parmi un vaste éventail de personnages, pour la plupart non nommés ou simplement appelés par leur prénom – bien que certains soient mondialement célèbres –, le seul portrait psychologique est celui du cinéaste lui-même : un poète lituanien exilé, fasciné et torturé par sa lente américanisation. Le film est dominé par un rythme staccato nerveux qui s’épanche régulièrement en grandes exaltations. En accumulant massivement des images, Mekas s’est constitué des archives uniques en leur genre pour assembler ce journal visuel, le premier d’une longue série. Aucun autre film ne restitue à ce point la sensation propre à ce temps et à ce lieu, telle qu’on peut la retrouver en regardant le film aujourd’hui. En tant que personnage secondaire apparaissant régulièrement devant la caméra de mon ami, je suis conscient combien sa représentation des autres reste fragmentaire et elliptique, et cependant ces images sont devenues pour moi les indices visuels les plus forts de la personne que j’étais il y a trente ans. Ceci est peut-être la clé de l’œuvre de Mekas : sa découverte d’une forme cinématographique laissant transparaître ses changements d’humeur, sans imposer un masque cohérent de lui-même. Il a ainsi construit une oeuvre qui laisse les autres apparaître dans leur ambiguïté phénoménale. »  P. Adams Sitney, 1996, Le Livre de Walden, éd. Paris Expérimental, 1997  « Disons que, cinématographiquement parlant, il n’y a peut-être rien de plus beau que les trois premiers plans de Walden : des arbres dans un parc bleuté par les reflets du soleil d’hiver, la neige et l’aube du printemps ; du temps, proustien ou haché en haïku, du temps qui tient dans la main, du souvenir partout. »  Philippe Azoury, « Vivace Jonas Mekas », Libération, 31 octobre 2000…
HD

该资源权限:vip用户

当前vip价格:¥75